Composant avec son métier de journaliste pour le journal Le Dauphiné, Jean-François Mutzig trouve néanmoins le temps nécessaire pour réaliser sa passion de la photographie. Une actualité bien remplie avec notamment l’ouvrage Femme Lavande, coréalisé avec les auteurs René Frégni et Georges Rinaudo. Un recueil sociologique sur le phénomène et l’intérêt des femmes asiatiques qui se photographient dans les champs de lavande, sur le plateau de Valensole. Deux expositions furent consacrées au lancement de l’ouvrage, une à l’église Notre-Dame-de-Romigier et la seconde au musée de l’Occitane. Plus de trente mille personnes ont pu découvrir ces expositions. Un travail différent pour ce photographe qui a voulu apporter une orientation impressionniste à ces clichés avec plus de flous et de mouvements.
Exposition à Monaco
Actuellement, et ce jusqu’au 3 janvier, se tient l’exposition « Des éléphants et des hommes » à la galerie du Parking des Pêcheurs à Monaco. Inaugurée par M. Jacques Boisson, secrétaire d’État de S. A. S. le prince Albert II de Monaco, en présence des représentants du gouvernement princier, l’exposition est consacrée à une espèce menacée : l’éléphant ! Depuis vingt ans, Jean-François Mutzig parcourt le monde à la découverte des populations et des cultures sur plus de sept pays. « Le projet initial prévoyait de couvrir les treize pays où l’éléphant est présent. Un travail réalisé pendant cinq ans avant de présenter la première exposition, à Manosque, en 2010. Je me souviens d’une scène : alors que je m’apprêtais à photographier une éléphante, celle-ci fouilla mon sac photo avec sa trompe, sous les yeux des enfants rieurs, médusés par la scène qui venait de se jouer devant eux. J’ai alors compris qu’il existait une relation très forte entre l’homme et l’animal, établie par des siècles de cohabitation et de collaboration », précise Jean-François. Mais il constate aussi, malheureusement, que l’éléphant court à l’extinction. Au cours des voyages suivants, Jean-François Mutzig concentre son attention sur ces deux aspects majeurs de la vie de l’animal. Son travail photographique privilégie ce lien entre l’éléphant et l’homme. Du Sri Lanka au Vietnam, en passant par le Laos, l’Inde et la Thaïlande, Jean-François Mutzig s’attache à saisir les gestes attentionnés des « mahouts » et les réactions de l’animal. Plus généralement, il photographie l’éléphant au milieu des populations locales pour caractériser cette relation ancestrale, faite d’affection et de domination. Cette approche systématique met aussi en relief, par des images puissantes, la situation critique dans laquelle se trouve l’animal ; sa dépendance, mais aussi sa souffrance dans un milieu urbain qui n’est pas le sien. Car l’animal souffre des mêmes maux que les hommes : misère, chômage, exploitation.
Actuellement, et ce jusqu’au 3 janvier, se tient l’exposition « Des éléphants et des hommes » à la galerie du Parking des Pêcheurs à Monaco. Inaugurée par M. Jacques Boisson, secrétaire d’État de S. A. S. le prince Albert II de Monaco, en présence des représentants du gouvernement princier, l’exposition est consacrée à une espèce menacée : l’éléphant ! Depuis vingt ans, Jean-François Mutzig parcourt le monde à la découverte des populations et des cultures sur plus de sept pays. « Le projet initial prévoyait de couvrir les treize pays où l’éléphant est présent. Un travail réalisé pendant cinq ans avant de présenter la première exposition, à Manosque, en 2010. Je me souviens d’une scène : alors que je m’apprêtais à photographier une éléphante, celle-ci fouilla mon sac photo avec sa trompe, sous les yeux des enfants rieurs, médusés par la scène qui venait de se jouer devant eux. J’ai alors compris qu’il existait une relation très forte entre l’homme et l’animal, établie par des siècles de cohabitation et de collaboration », précise Jean-François. Mais il constate aussi, malheureusement, que l’éléphant court à l’extinction. Au cours des voyages suivants, Jean-François Mutzig concentre son attention sur ces deux aspects majeurs de la vie de l’animal. Son travail photographique privilégie ce lien entre l’éléphant et l’homme. Du Sri Lanka au Vietnam, en passant par le Laos, l’Inde et la Thaïlande, Jean-François Mutzig s’attache à saisir les gestes attentionnés des « mahouts » et les réactions de l’animal. Plus généralement, il photographie l’éléphant au milieu des populations locales pour caractériser cette relation ancestrale, faite d’affection et de domination. Cette approche systématique met aussi en relief, par des images puissantes, la situation critique dans laquelle se trouve l’animal ; sa dépendance, mais aussi sa souffrance dans un milieu urbain qui n’est pas le sien. Car l’animal souffre des mêmes maux que les hommes : misère, chômage, exploitation.
Avec le concours de l’association Baby et Népal et le soutien du gouvernement princier
À sa manière et avec ses moyens, Jean-François Mutzig entend participer à la sauvegarde de l’animal pour enrailler la dynamique infernale qui le conduit à sa perte. L’exposition « Des éléphants et des hommes » de Jean-François Mutzig à Monaco participe à ce mouvement de prise de conscience. Elle trouve en S. A. S. la princesse, qui a recueilli et sauvé Baby et Népal, les deux éléphantes du cirque Pinder, une fervente protectrice de l’animal. Ces deux démarches en faveur de l’éléphant ne pouvaient que se rencontrer et se compléter. Ainsi s’amorce une synergie porteuse de l’espoir qu’un jour renaisse dans le monde l’harmonie entre l’éléphant et l’homme.
Exposition « Des éléphants et des hommes ». Ouverture tous les jours jusqu’au 3 janvier 2016, à la galerie du Parking des Pêcheurs, à Monaco, sous l’égide de l’association Les Clichés de l’aventure avec le concours de l’association Baby et Népal et le soutien du gouvernement princier.
À sa manière et avec ses moyens, Jean-François Mutzig entend participer à la sauvegarde de l’animal pour enrailler la dynamique infernale qui le conduit à sa perte. L’exposition « Des éléphants et des hommes » de Jean-François Mutzig à Monaco participe à ce mouvement de prise de conscience. Elle trouve en S. A. S. la princesse, qui a recueilli et sauvé Baby et Népal, les deux éléphantes du cirque Pinder, une fervente protectrice de l’animal. Ces deux démarches en faveur de l’éléphant ne pouvaient que se rencontrer et se compléter. Ainsi s’amorce une synergie porteuse de l’espoir qu’un jour renaisse dans le monde l’harmonie entre l’éléphant et l’homme.
Exposition « Des éléphants et des hommes ». Ouverture tous les jours jusqu’au 3 janvier 2016, à la galerie du Parking des Pêcheurs, à Monaco, sous l’égide de l’association Les Clichés de l’aventure avec le concours de l’association Baby et Népal et le soutien du gouvernement princier.
