Chaque soir 4 concerts sur le parking du Théâtre Durance :

Gliz
Au Théâtre Durance à Château-Arnoux. Ce power trio jurassien se moque des codes, des cases et signe une musique unique et saisissante. Du rock oui, mais sans guitare, ni basse ! Avec un banjo, un tuba et une batterie, Gliz créé un son organique, roots et moderne, sensible et brutal, à l’énergie rock. Flo, Tom et Mitch font du neuf avec de vieux instruments, et ça sonne terriblement. Un groupe à l’énergie sauvage emmené par un chanteur à la présence hors du commun.

Dowdelin
Au Théâtre Durance à Château-Arnoux. Nomade et défricheur, Dowdelin explore un chemin où s’assemblent jazz créole, dancefloor électronique et percussions antillaises pour façonner un feeling Future Kréol unique. La voix soul, nonchalante mais puissante d’Olivya, le saxophone allègre de Raphaël et les programmations électroniques innovantes de David, alias Dawatile, nous entraînent dans des couplets hybrides et des refrains afro-futuristes, riches en percussions et en harmonies cuivrées.

Ceylon
Au Théâtre Durance à Château-Arnoux. Nous voilà revenus à cette époque bénie où les musiciens, libres et heureux, laissaient leur musique s’étirer, s’aventurer, se distordre, sans jamais se poser la question du format. Ce jeune groupe ranime avec brio les années 70 et le rock psyché chanté en français et en anglais, inspiré et inspirant, référencé mais libre et moderne avant tout. Des morceaux souvent longs, nés de l’amour qu’entretiennent Louise et Tristan pour le théâtre et le cinéma. Ils tissent leurs univers en prenant le temps de décortiquer chaque riff comme un plan séquence contemplatif ou un acte épique, posent le décor, ponctuent la musique d’envolées poétiques, pour nous emmener dans un inlassable voyage à travers des univers musicaux éclectiques, laissant place à la rêverie.

Ndiaz
Au Théâtre Durance à Château-Arnoux. ‘Ndiaz est un des groupes phares de la nouvelle scène de Bretagne ; musique à danser, hybridation des sons et des influences pour une musique cuivrée, à la frénésie élégante et à la transe puissante. D’une instrumentation que l’on imagine acoustique, on découvre au final un power quartet qui sonne comme un big band très épicé. Bienvenu dans les nouvelles géographies musicales de Bretagne. Riche d’une solide expérience acquise dans les festoù-noz, les quatre complices affirment leur conception de la transe avec une musique à danser ouverte sur le monde. Youn Kamm orientalise sa trompette aux parfums de Liban et de Turquie. Yann Le Corre s’est imprégné de forrò brésilien. Jérôme Kerihuel a perfectionné en Inde sa technique de percussions. Quant à Timothée Le Bour, son saxophone vibre comme un taragot roumain.